Ainsi, ne jetons pas trop vite notre verre à gonioscopie sous prétexte d’une imagerie du segment antérieur devenue très sophistiquée, analysant et mesurant avec une grande précision les rapports de la cornée et de l’iris, la position du corps ciliaire et le rôle du cristallin dans la fermeture de l’angle ! Oui, la pratique de la gonioscopie est toujours indispensable, même si son interprétation pose régulièrement des problèmes à l’examinateur, même aguerri. Faut-il ou non réaliser une iridotomie ou même une phaco-extraction quand l’ophtalmo-logiste redoute une fermeture de l’angle, parfois déjà constituée, lors de l’examen biomicroscopique ? Esther Blumen-Ohana décrit avec talent et impartialité les situations dans lesquelles les images fournies par l’UBM ou l’OCT du segment antérieur s’avèrent une aide réellement décisionnelle.
Précisément, les travaux de Florent Aptel, associé à Philippe Denis, ont fait -l’objet de publications dans des revues internationales prestigieuses et ont conforté le rôle de l’uvée, suspecté par Quigley, dans la survenue des fermetures de l’angle dites primitives. Il a accepté[...]
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