- Éviction des facteurs déclenchants
- Le laser
- 1. Dans quelles indications ?
- 2. Quels mécanismes d’action ?
- 3. Quels résultats ?
- 4. Quelles complications ?
- 5. Quel laser ?
- 6. Dans quels délais ?
- La photothérapie dynamique (PDT)
- 1. Dans quelles indications ?
- 2. Quels mécanismes d’action ?
- 3. Quels effets secondaires ?
- 4. Quelle dose ? Quelle fluence ?
- 5. Quels résultats ?
- Les anti-VEGF
- Antagonistes du récepteur minéralocorticoïde (éplérénone ou spironolactone)
- Autres traitements médicamenteux
La prise en charge thérapeutique de la CRSC ne fait pas l’objet de consensus. Les études randomisées contrôlées permettant d’évaluer l’efficacité d’un traitement sont plus que jamais nécessaires dans une maladie fluctuante liée au stress, pouvant amplifier “l’effet placebo”.
Compte tenu de l’évolution spontanément favorable d’un grand nombre de CRSC aiguë, l’abstention thérapeutique paraît légitime lors de la première poussée évoluant depuis moins de 3 mois.
Un traitement peut être envisagé lorsque le décollement séreux rétinien (DSR) évolue depuis plus de 3/4 mois sans tendance à une résolution spontanée, dans les formes récidivantes et dans les formes chroniques, avec une baisse d’acuité visuelle [1].
Plusieurs possibilités thérapeutiques s’offrent alors aux cliniciens (fig. 1, arbre thérapeutique, page 2). Le laser et la photothérapie dynamique (PDT) ciblent le point de fuite. Des études ont démontré une certaine efficacité, mais l’innocuité de la PDT reste à évaluer au long cours sur des patients présentant déjà des altérations évolutives du complexe épithélium pigmentaire/choroïde.
Éviction des facteurs déclenchants
Il[...]
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