- Sécheresse oculaire
- 1. Définition
- 2. Classification, étiologies
- 3. Diagnostic
- Chirurgie réfractive et sécheresse oculaire
- 1. Facteurs préopératoires
- 2. Facteurs peropératoires
- Conséquences
- 1. Conséquences visuelles
- 2. Conséquences sur la satisfaction et la qualité de vie
- Prise en charge
- 1. Traitement préventif
- 2. Traitement curatif
- 3. Nouvelles technologies : E-Swin et Lipiflow
- Conclusion
Le nombre de candidats à la chirurgie réfractive et de patients opérés est en constante augmentation. Le syndrome sec est un phénomène fréquent. La sécheresse oculaire est l’un des principaux effets secondaires de la chirurgie réfractive tant en termes de fréquence que de retentissement. Elle peut, malgré un résultat visuel satisfaisant, devenir source d’insatisfaction postopératoire pour les patients qui en souffrent et de frustration à la fois pour les patients et les chirurgiens. Parfois, la sécheresse postopératoire peut aller jusqu’à entraîner des fluctuations de la vision. Le diagnostic préopératoire de sécheresse oculaire ainsi que de ses facteurs favorisants est essentiel pour en informer correctement le patient et en prévenir le retentissement postopératoire.
Sécheresse oculaire
1. Définition
Le syndrome sec est une pathologie complexe et multifactorielle. Sa prévalence dans la population générale varie de 15 à 30 % selon les études. La sécheresse oculaire est définie comme “une atteinte multifactorielle des larmes et de la surface oculaire à l’origine de symptômes d’inconfort, de perturbation visuelle, d’instabilité lacrymale avec de potentielles atteintes de la surface oculaire. Elle s’accompagne d’une augmentation de l’osmolarité des larmes et d’une inflammation de la surface oculaire” [1].
2. Classification, étiologies
La classification[...]
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