- Physiopathologie
- Les DEP idiopathiques et dégénératifs sont plus fréquents et seront développés plus attentivement.
- 1. Découverte fortuite
- 2. Au décours d’une baisse d’acuité visuelle (BAV)
- 3. Signes associés au DEP
- Diagnostics différentiels
- Démarche étiologique : quels examens réaliser ?
- 1. Rétinophotos
- 2. Taille, réflectivité du contenu en OCT, OCT-EDI, OCT swept-source
- 3. Autofluorescence
- 4. Bilan adjuvant : angiographie et OCT-angiographie
- Principales formes cliniques
- 1. DEP vascularisés
- 2. DEP avasculaires
- 3. DEP séreux dit également idiopathiques (fig. 5 et 6)
- Conclusion
Le décollement de l’épithélium pigmentaire (DEP) correspond à une séparation entre l’épithélium pigmentaire et la membrane de Bruch (fig. 1 et 2). Le DEP étant pléiomorphe, une analyse sémiologique est primordiale pour assurer un diagnostic de certitude afin de différencier les formes bénignes, nécessitant une simple surveillance, des formes plus sérieuses, nécessitant la réalisation d’examens complémentaires et un traitement afin d’améliorer le pronostic visuel.
Physiopathologie
L’OCT (optical coherence tomography) spectral domain (OCT-SD) permet une étude in vivo sans précédent de la macula. La segmentation des différentes strates de la rétine est aujourd’hui possible avec une résolution de 4 à 6 µm. Ainsi, l’épaisseur moyenne de l’épithélium pigmentaire est définie autour de 26,3 ± 4,8 µm (fig. 1) au centre de la macula [1]. Cette moyenne a été obtenue sur une série de patients ayant une erreur réfractive modérée,[...]
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