- Anatomie des formules de calcul d’implants
- 1. Formules de régression vs formules “théoriques” : une vieille histoire
- 2. Qu’appelle-t-on intelligence artificielle ?
- 3. Formules “IA pures”
- 4. Formules théoriques (mixtes)
- Pourquoi l’optique est-elle toujours importante ?
- 1. Longueur axiale obtenue par somme des segments
- 2. Notion de puissance d’implant
- 3. Importance et méthodes d’inférence des paramètres oculaires non mesurés
- 4. Conséquences de ces notions sur le choix d’une architecture de formule
- Formules actuellement disponibles
- Perspectives
Anatomie des formules de calcul d’implants
1. Formules de régression vs formules “théoriques” : une vieille histoire
Les premières formules de calcul d’implant (Fyodorov, Colenbrander, Binkhorst…) furent basées sur des formules optiques établies à partir d’un modèle d’œil simplifié, où un implant donné occupait une position intraoculaire fixe. A contrario, la formule SRK fut établie selon une simple régression multiple pour fournir la puissance d’un implant (P) à partir de trois variables : LA (Axial Length, longeur axiale), K (puissance optique de la cornée) et une constante A, qui permettait d’ajuster le modèle de manière linéaire [1]. Les formules théoriques Holladay I (1988) [2], SRK/T (1990) [3], Hoffer-Q (1993) [4] et Haigis (1998) [5], d’utilisation encore courante, posèrent les bases du calcul d’implant moderne en démontrant l’importance de la modélisation optique (fig. 1). Les formules postérieures aux années 2000 ne sont pour l’essentiel pas publiées : parmi les formules les plus récentes (Barrett Universal II, EVO, Holladay II, Hill-RBF, Olsen, Kane, PEARL-DGS…),[...]
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