- Les formules de calcul
- Les formules de régression et formules théoriques
- Les formules de dernière génération
- Les formules utilisant l’intelligence artificielle (IA)
- Les mesures biométriques
- Les biomètres optiques
- Leur efficacité
- L’échographie
- Le déroulement d’une échographie pour une biométrie
- L’échographie en mode A
- L’échographie en mode B avec vecteur de contrôle
- La comparaison entre échographie et biométrie optique
- Conclusion
La biométrie est l’étape déterminante dans le calcul de la puissance de l’implant posé lors de la chirurgie de la cataracte [1, 2]. Les avancées technologiques récentes ont rendu cette intervention avec implant intraoculaire (IOL) plus sûre et prévisible. Aujourd’hui, il s’agit d’une véritable procédure de chirurgie réfractive [3] et les attentes des patients concernant leur vision et l’indépendance vis-à-vis des lunettes ne cessent de croître. Atteindre un bon résultat réfractif nécessite donc une biométrie rigoureuse et un choix réfléchi de l’implant. Les résultats postopératoires se sont améliorés grâce à la précision accrue des appareils et des formules de calcul.
Toutes les formules de calcul de la puissance de l’IOL reposent sur les caractéristiques de l’implant et sur diverses mesures biométriques de l’œil à opérer, notamment la longueur axiale (LA) et la kératométrie (K). Depuis les années 2000, ce sont les biomètres basés sur l’interférométrie qui font référence pour mesurer la LA. Toutefois, les ultrasons restent nécessaires lorsque ces nouveaux outils ne peuvent pas effectuer la mesure. Avant une chirurgie de la cataracte, la mesure de la LA motive environ 25 000 échographies par an en France [4].
Les formules de calcul
Les formules de régression et formules théoriques
Les formules de régression linéaire[...]
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