Auteur Desmettre T.

Centre de Rétine Médicale, MARQUETTE-LEZ-LILLE, Service d’Ophtalmologie, Hôpital Lariboisière, PARIS.

Revue de presse
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Les néovaisseaux choroïdiens liés à la myopie forte représentent la seconde cause de néovascularisation après la DMLA. Ils représentent 4 à 10 % des néovaisseaux choroïdiens. Chez le sujet de moins de 50 ans, ces néovaisseaux du myope fort représentent même la première cause de néovascularisation choroïdienne [1].

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La réalisation de photocoagulations dans les parages immédiats de la fovéola est parfois rendue difficile par le repérage des lésions ou les discrets mouvements du patient. L’expérience aide à compenser ces deux éléments, mais pour des lésions visibles surtout en angiographie telles que le point de fuite d’une choriorétinopathie séreuse centrale, les microanévrysmes diffusants d’un œdème focal du diabétique ou pour des télangiectasies maculaire idiopathiques de type I, le repérage précis comparant l’aspect du fond d’œil sur la lampe à fente du laser avec un cliché d’angiographie est parfois long et peut manquer de précision.

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Les résultats à deux ans de l’étude CATT ont fait l’objet fin avril d’une publication électronique avant impression. L’étude reprend le schéma initial avec 4 groupes de traitement suivant l’anti-VEGF utilisé (Lucentis ou Avastin) et le rythme d’administration (mensuel strict ou PRN). En outre, les patients qui avaient été traités en mensuel strict pendant la première année (que ce soit avec du Lucentis ou avec de l’Avastin) ont été répartis par tirage au sort entre un groupe poursuivant une administration mensuelle et un groupe PRN.

L’Année ophtalmologique 2011
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L’année 2011 et ce début d’année 2012 n’ont probablement pas été aussi révolutionnaires que l’année 2005 qui avait été doublement marquée par l’avènement des anti-VEGF en intravitréen et par l’identification du polymorphisme du facteur H du complément. L’année 2011 n’a pas non plus été aussi marquante en imagerie que 2003 qui avait vu arriver l’OCT Stratus ou 2007 avec les OCT spectraux.

En revanche, l’année 2011 nous semble être une année de tendances avec trois événements concernant la DMLA qui ont d’ailleurs chacun été repris par la presse grand public et ont suscité de nombreuses questions de nos patients. En 2011, ont été publiés les résultats à 1 an de l’étude CATT comparant l’Avastin et le Lucentis. Cette année a également vu la publication des résultats des études VIEW 1 et VIEW 2 rapidement suivies d’un agrément FDA pour le VEGF-Trap (Eylea), un nouvel anti-VEGF. Enfin, nous avons tous dû répondre aux interrogations de nos patients concernant la greffe de cellules souches embryonnaires chez une patiente présentant une forme atrophique de DMLA…

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Monsieur G., né en 1961, présente un diabète II connu depuis l’âge de 11 ans. L’hémoglobine glyquée est mesurée à 6,5 % et la pression artérielle est habituellement à 13/8 mmHg. Monsieur G. présente par ailleurs une myopie de 5 dioptries à gauche. L’acuité visuelle est mesurée à 2/10 de loin, Parinaud 4 de près de ce côté gauche. Le patient n’a cependant pas ressenti de baisse récente des performances visuelles.

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Mme D., âgée de 63 ans, présente une discrète dystrophie pseudovitelliforme prédominant à gauche, connue depuis plusieurs années. Elle consulte pour une gêne visuelle à droite évoluant depuis quelques semaines. L’interrogatoire précise un antécédent de cancer du sein il y a quelques années.

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