PULSAR : comparaison de l’aflibercept 2 mg et 8 mg
Malgré l’efficacité des anti-VEGF, la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) néovasculaire reste associée à des altérations structurelles de la rétine maculaire et à des baisses de vision qui contrastent parfois avec les résultats des études. Les contraintes liées au traitement peuvent expliquer des rythmes de traitement parfois insuffisants ou même l’arrêt des injections intravitréennes (IVT). Les innovations thérapeutiques récentes visent toutes à développer des options permettant de prolonger les intervalles entre les injections intravitréennes pour alléger le poids de la prise en charge de la maladie et optimiser les résultats fonctionnels [1, 2]. Parmi ces innovations, l’augmentation de la dose d’anti-VEGF intravitréen est une option qui pourrait améliorer la durabilité de l’effet thérapeutique, permettant de maintenir le contrôle de la maladie avec des intervalles de dosage prolongés.
