Photobiomodulation : quelques résultats prometteurs mais beaucoup d’incertitudes
La photobiomodulation (PBM) repose sur l’hypothèse physiopathologique selon laquelle la lumière, en particulier rouge ou proche de l’infrarouge, pourrait avoir une action sur la cytochrome oxydase des mitochondries et moduler la synthèse de l’adénosine-triphosphate (ATP) [1, 2] (fig. 1).
