Revues Générales

L’Année ophtalmologique 2014
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Les connaissances et pratiques cliniques dans le domaine du glaucome n’ont pas profondément changé ces dernières années, elles évoluent néanmoins progressivement. Les conséquences fonctionnelles des glaucomes ont été, pendant longtemps, uniquement appréhendées par l’étude du champ visuel. De nombreux travaux réalisés ces dernières années se sont intéressés à l’impact des glaucomes sur les actes de la vie courante.

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L’œil sec de l’enfant est une pathologie rare. Celle-ci est souvent asymptomatique chez l’enfant, ce qui conduit malheureu-sement à un diagnostic retardé. Elle peut se présenter de façon soit isolée, soit plus rarement dans une maladie générale qu’il faudra alors identifier.

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Le glaucome de l’enfant est une pathologie rare, mais il est impératif de le dépister le plus précocement possible. Cepen-dant, les signes d’appel sont parfois difficiles à reconnaître. Les symptômes peuvent être communs en apparence comme un larmoiement persistant en l’absence d’occlusion du canal lacrymonasal, une photophobie, une myopie uni ou bilatérale progressive. Certains signes sont plus caractéristiques, comme une mégalocornée ou une buphtalmie. Devant toute suspi-cion de glaucome, un examen complet doit être réalisé avec prise de tonus oculaire et échographie avec longueur axiale.

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La toxoplasmose est une infection très fréquente : 30 % de la population mondiale serait atteinte, avec une très grande variabilité. Cependant, en dépit d’une séroprévalence très élevée, l’incidence de la toxoplasmose oculaire (TO) reste limitée à environ 2 % des patients infectés.

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Le terme de blépharite désigne une inflammation des paupières intéressant le bord libre, la peau, les cils (atteinte anté-rieure) et les glandes de Meibomius (GM) (atteinte postérieure). Il n’existe quasiment pas de données concernant la préva-lence de la blépharite bien qu’elle soit décrite comme une des pathologies les plus fréquentes en ophtalmologie. Elle est classiquement estimée à au moins 15 % de la population générale. La blépharite postérieure semble la plus fréquente avec une prédominance d’atteinte des GM.

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Les corticoïdes sont des anti-inflammatoires puissants qui maîtrisent sans difficulté les crises inflammatoires douloureuses des kératoconjonctivites vernales. Cette efficacité explique que le recours à cette classe pharmacologique puisse apparaître confortable et apaisante pour ces enfants. Cependant, le risque iatrogénique important expose à la -formation de cataracte et à la survenue de glaucome. L’utilisation des corticoïdes chez ces enfants se doit d’être strictement limitée.

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L’arthrite juvénile idiopathique (AJI) représente la première cause d’uvéite non infectieuse de l’enfant. Celle-ci représente un groupe hétérogène de maladies articulaires inflammatoires subdivisé en 7 sous-types suivant la classification internatio-nale ILAR. Parmi ces sous types, c’est surtout la forme oligo-articulaire qui représente à elle seule -environ la moitié des patients avec AJI, et qui se distingue par une atteinte -oculaire -insidieuse dont le pronostic peut parfois être plus sévère que celui de l’arthrite.

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