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DMLA : l’intérêt d’un test quantitatif de sensibilité aux contrastes

L’étude publiée en novembre par cette équipe de Boston visait à corréler les résultats d’un test fonctionnel, la sensibilité aux contrastes (qCSF), avec l’imagerie, i.e. les marqueurs OCT d’évolutivité de la DMLA intermédiaire.

Pour mémoire, le terme américain de “DMLA intermédiaire” correspond à une maculopathie liée à l’âge à un stade critique, comportant des drusen séreux (> 125 µm) et/ou des migrations pigmentaires maculaires [1]. Les résultats de l’étude suggèrent que la qCSF peut être corrélée avec le risque de progression de la DMLA intermédiaire vers l’atrophie géographique ou la DMLA néovasculaire.

Dossier : Sécheresse oculaire
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La sécheresse oculaire est une affection particulièrement fréquente chez les patients de plus de 65 ans. Malgré la diversité des symptômes et des étiologies, de grandes lignes décisionnelles sur la prise en charge thérapeutique de la sécheresse oculaire ont été développées. Ainsi, de multiples traitements peuvent être utilisés dans la sécheresse oculaire : prise en charge psychologique, mesures environnementales, substituts lacrymaux, moyens mécaniques, anti-inflammatoires, collyre au sérum autologue et autres traitements spécifiques pouvant être indiqués selon les pathologies en cause.

Mise au point
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Premier cas
Il s’agit d’un patient âgé de 47 ans, sans antécédent particulier. Il présente une baisse de l’acuité visuelle de l’OG depuis 15 jours à 1/20e avec une occlusion de la veine centrale perfusée (fig. 1). L’OCT montre un œdème maculaire cystoïde avec décollement séreux rétinien (fig. 2). Un bilan systémique cardiovasculaire et biologique comprenant la recherche d’une hyperhomocystéinémie est négatif.

Revues Générales
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Nous décrivons les caractéristiques techniques du laser VISX S4 IR couplé à l’aberromètre WaveScan et prochainement au iDesign. Nous décrivons nos impressions cliniques et notre expérience limitée en Presbylasik.

Revues Générales
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La survenue d’une cataracte chez les patients atteints d’uvéite peut avoir une double origine, liée d’une part à l’inflammation intraoculaire elle-même, mais aussi aux corticoïdes utilisés pour la traiter (cataracte cortico-induite). Parmi ces deux facteurs, l’inflammation non contrôlée est la plus cataractogène.
Toutes causes d’uvéites confondues, la cataracte est une complication retrouvée dans 30 à 40 % des cas selon les séries [1]. Cette valeur est cependant à nuancer selon le type d’uvéite et les complications (uvéites antérieures, aiguës, récidivantes ou chroniques, l’arthrite juvénile idiopathique au premier plan, hautement cataractogène [2]). L’opacification cristallinienne n’est que faiblement liée aux formes postérieures d’inflammation.
La chirurgie de la cataracte chez les patients atteints d’uvéite est désormais de bon pronostic grâce à l’amélioration des techniques opératoires, de moins en moins traumatisantes, et à un contrôle optimal de l’inflammation dans les temps pré- et postopératoires. Ce seront les trois points clefs de la prise en charge d’une cataracte dans un contexte d’uvéite.

Revues Générales
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La chirurgie réfractive est une discipline attirant de plus en plus de patients. Le glaucome reste une maladie redoutable, pour lequel le diagnostic par mesure de la pression intraoculaire (PIO) doit être réalisé le plus précocement possible.
En modifiant l’épaisseur et l’architecture de la cornée, la chirurgie réfractive cornéenne rend difficilement interprétables les mesures données par la technique de référence qu’est le tonomètre à aplanation de Goldmann.
D’autres techniques moins dépendantes de l’épaisseur cornéenne sont à notre disposition pour mesurer la PIO après chirurgie réfractive. Parmi celles-ci, le tonomètre dynamique de Pascal et l’ORA semblent donner des résultats plus proches de la PIO réelle. D’autres études seront encore nécessaires pour s’approcher de la méthode idéale qui serait totalement indépendante des paramètres cornéens.

Revue de presse
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Les néovaisseaux choroïdiens liés à la myopie forte représentent la seconde cause de néovascularisation après la DMLA. Ils représentent 4 à 10 % des néovaisseaux choroïdiens. Chez le sujet de moins de 50 ans, ces néovaisseaux du myope fort représentent même la première cause de néovascularisation choroïdienne [1].

Revue de presse
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La réalisation de photocoagulations dans les parages immédiats de la fovéola est parfois rendue difficile par le repérage des lésions ou les discrets mouvements du patient. L’expérience aide à compenser ces deux éléments, mais pour des lésions visibles surtout en angiographie telles que le point de fuite d’une choriorétinopathie séreuse centrale, les microanévrysmes diffusants d’un œdème focal du diabétique ou pour des télangiectasies maculaire idiopathiques de type I, le repérage précis comparant l’aspect du fond d’œil sur la lampe à fente du laser avec un cliché d’angiographie est parfois long et peut manquer de précision.

Valeurs à la Une
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L’infarctus du myocarde aigu touche 100 000 personnes chaque année en France et 900 000 personnes aux Etats-Unis.
Le Dr. Renu Virmani, médecin de renommée internationale, a présenté le 26 mars 2012 à Chicago lors du congrès annuel du Collège Américain de Cardiologie (ACC), les conclusions d’une nouvelle étude réalisée sur 59 patients. Cette dernière a mis clairement en exergue la difficulté pour un chirurgien de déterminer avec certitude le diamètre de l’artère, entraînant potentiellement un risque d’erreur dans le choix du stent adéquat. Or la conséquence majeure d’une mal-apposition d’un stent conventionnel (sous-dimensionné ou surdimensionné) est l’augmentation significative des risques de récidives.

Patrimoine
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Il faut bien le reconnaître, certains régimes d’imposition défient toute concurrence ! Ainsi, parlait le gérant d’une SCI ayant opté pour l’impôt sur le revenu. Il n’avait encore rien vu ! Il allait bientôt être rattrapé par l’augmentation des prélèvements sociaux et la création probable d’une nouvelle tranche d’imposition sur le revenu à 45%.

Dossier : Kératocône
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Le kératocône reste toujours une pathologie mystérieuse, vraisemblablement d’origine multifactorielle. Quelques avancées ont permis d’en éclaircir certains aspects, mais beaucoup restent à découvrir.