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DMLA : l’intérêt d’un test quantitatif de sensibilité aux contrastes

L’étude publiée en novembre par cette équipe de Boston visait à corréler les résultats d’un test fonctionnel, la sensibilité aux contrastes (qCSF), avec l’imagerie, i.e. les marqueurs OCT d’évolutivité de la DMLA intermédiaire.

Pour mémoire, le terme américain de “DMLA intermédiaire” correspond à une maculopathie liée à l’âge à un stade critique, comportant des drusen séreux (> 125 µm) et/ou des migrations pigmentaires maculaires [1]. Les résultats de l’étude suggèrent que la qCSF peut être corrélée avec le risque de progression de la DMLA intermédiaire vers l’atrophie géographique ou la DMLA néovasculaire.

Revue de presse
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Les choriorétinopathies séreuses centrales (CRSC) chroniques peuvent se compliquer de néovaisseaux choroïdiens, le plus souvent sous la forme d’un soulèvement plan et irrégulier de l’épithélium pigmentaire (FIPED), décrit pour la première fois en 2015 par l’équipe de l’hôpital Lariboisière à Paris [1].

Revue Francophone des Spécialistes de la Rétine
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Chers collègues,
Nous voilà dans la période post-COVID. Cela ne signifie pas que l’épidémie est finie mais que le monde a un peu changé consécutivement à l’épidémie. Parmi les nouveautés établies, on trouve les congrès virtuels ou mixtes. Ainsi, cette année, la SFO et le CFSR ont organisé une journée “digitale” d’automne sur un sujet on ne peut plus intéressant : la choroïde.

Revue de presse
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Le diagnostic des vasculopathies polypoïdales choroïdiennes (VPC) n’est pas toujours évident. Certaines choriorétinopathies séreuses centrales (CRSC) du sujet âgé se sont révélées être des VPC débutantes et, régulièrement, des néovaisseaux de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) ne répondant pas aux anti-VEGF utilisés seuls s’avèrent correspondre à une VPC [1, 2]. À l’inverse, les néovaisseaux maculaires de la DMLA peuvent simuler une VPC, surtout dans le cas de néovaisseaux de type I avec un décollement de l’épithélium pigmentaire (DEP) de petite taille et une hémorragie.

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Le nombre de patients presbytes ne cesse d’augmenter et avec lui les demandes d’équipement en lentilles. 43 % des 40-65 ans sont ouverts au port de lentilles multifocales à l’arrivée de la presbytie [1] et 72 % des 40-54 ans estiment que leur professionnel de la vue a le devoir de leur parler des lentilles de contact multifocales dès l’apparition des premiers symptômes de presbytie [2]. Parallèlement à cette demande croissante, l’offre en lentilles souples multifocales s’est étoffée ces dernières années, que ce soit en termes de matériaux, de modalités de port ou de géométries, permettant d’envisager un équipement pour la plupart de nos patients.

Étude clinique
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Il y a encore quelques années, de nombreux patients et un certain nombre d’ophtalmologistes pensaient que l’astigmatisme et les lentilles de contact souples n’étaient pas compatibles. Cette croyance tend à changer doucement. En effet, l’industrie innove constamment au niveau des matériaux, les gammes sont de plus en plus larges et les systèmes de stabilisation sont plus performants afin de répondre aux attentes des porteurs astigmates. Le temps où la principale difficulté pour adapter les astigmates était le manque de choix laisse place aujourd’hui à celui où la difficulté est de s’y retrouver parmi les nombreuses possibilités de prescription qui s’offrent aux adaptateurs.

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L’homme debout et immobile est un parfait exemple de symétrie. Dès qu’il se met en action, cet équilibre doit être rompu au profit de l’efficacité.
Le cerveau a une forme symétrique mais fonctionne de manière asymétrique. Chaque hémisphère contrôle les membres du côté opposé et fonctionne différemment. Schématiquement, il est possible de dire que l’hémisphère gauche traite le langage et l’hémisphère droit la perception visuelle de l’espace.

Revues Générales
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Les trous maculaires idiopathiques sont habituellement secondaires à une traction vitréorétinienne au cours du décollement postérieur du vitré, responsable d’une rupture du cône des cellules de Müller. Des études récentes ont identifié la présence d’une ligne fovéolaire centrale, verticale, hyper­réflective en OCT avant le développement de trou maculaire. Cette ligne fovéolaire, appelée ligne de stress hyperréflective ou encore foveal crack sign, traduit une souffrance des cellules de Müller centrales et pourrait être un marqueur OCT précoce prédictif du développement d’un trou maculaire.

Revues Générales
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Les chirurgies mini-invasives du glaucome (MIGS) se sont considérablement développées au cours de la dernière décennie. L’iStent®, approuvé par la FDA et la HAS, est le chef de file de ces techniques. Il s’agit d’un micro-pontage trabéculaire qui, combiné à la phacoémulsification du cristallin, permet d’abaisser la pression intraoculaire de manière cliniquement significative et de diminuer la charge médicamenteuse des patients glaucomateux, avec des effets indésirables minimes. Dans l’algorithme de traitement du glaucome, il se place actuellement entre traitement médical/laser et chirurgie filtrante classique dans le glaucome débutant à modéré.

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