Revues Générales

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L’OCT-A fait naître un certain nombre de perspectives enthousiasmantes dans le domaine de la neuropathie optique glaucomateuse, même s’il est encore nécessaire de répondre à plusieurs questions. L’OCT-A apporte-t-elle : une information additionnelle aux données de l’OCT-SD ? Un marqueur lésionnel précoce ou secondaire à l’atteinte des cellules ganglionnaires et/ou de leurs axones ? Un témoin prédictif ou démonstratif d’une progression ?
Les nouveaux programmes d’analyses combinées de l’atteinte de la structure et du réseau micro­vasculaire, désormais validés, permettront sans doute de répondre rapidement à plusieurs de ces interrogations et d’acquérir des informations cliniques, directement mesurables, avec un intérêt majeur pour une prise en charge mieux adaptée de nos patients glaucomateux.

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La rétinite toxoplasmique est l’uvéite postérieure la plus fréquente chez le sujet immunocompétent. Ses caractéristiques cliniques et son comportement sur les examens d’imagerie sont bien connus et permettent d’arriver au diagnostic sans confirmation biologique de l’infection.
Lorsque l’aspect clinique ou l’évolution de la maladie est atypique, une ponction de chambre antérieure peut être réalisée afin de rechercher une réaction immunitaire dirigée vers le parasite. Le traitement de la maladie est bien codifié et il associe anti-parasitaire et anti-inflammatoire jusqu’à guérison du foyer infectieux.
Ces traitements systémiques, non dénués d’effets secondaires, ne sont pas forcément recommandés chez tous les patients, et une évaluation du rapport bénéfice/risque doit être réalisée avant toute prescription.

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La correction de l’astigmatisme fait partie prenante de la correction des amétropies lors de la chirurgie de la cataracte. Il existe un grand nombre d’implants avec des caractéristiques variées.
Le chirurgien pourra choisir en fonction de ses habitudes en matière de lentilles intraoculaires (hydrophylie (AT TORBI, VISTOR, enVista Toric, Ankoris) ou hydrophobie (SN6AT, Vivinex Toric XY1A, TECNIS), forme de l’implant, préchargement (AT TORBI, VISTOR EASY 1 D, Vivinex Toric XY1A), puissance disponible (AT TORBI), surcoût patient ou pas (VISTOR EASY 1 D au prix d’un monofocal), etc.) et des paramètres du patient.

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La prise en charge des ulcérations cornéennes résistantes repose avant tout sur l’identification des facteurs étiologiques et des éventuels facteurs aggravants.
La démarche thérapeutique est médico-chirurgicale.
Elle vise en premier lieu à éliminer toute iatrogénie ou autres facteurs pouvant retarder la cicatrisation épithéliale, d’autre part à favoriser la fermeture de la lésion épithéliale, à limiter l’amincissement du stroma cornéen et la survenue d’une perforation cornéenne.

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Pour prendre en charge un décollement de l’épithélium pigmentaire, une preuve irréfutable de la présence d’un lacis néovasculaire, soit par angio-OCT soit par angiographie, doit être apportée étant donnés la durée et le côté invasif du traitement.
Sur le plan thérapeutique, il semblerait qu’il n’y ait pas de bénéfice sur l’acuité visuelle à assécher complètement le DEP, mais il semble important de contrôler les signes exsudatifs surtout les logettes de mauvais pronostic en rapprochant les injections, en choisissant un schéma proactif et en switchant en cas d’une réponse sous-optimale.
Il semble avant tout que l’évolution défavorable des DEP à long terme soit liée à la fibrose et l’atrophie.

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Les membranes épirétiniennes représentent la pathologie chirurgicale maculaire la plus fréquente. Leur détection précoce par les examens d’OCT systématiques soulève la question de l’indication opératoire. Si la conservation de l’acuité visuelle fait sursoir à toute chirurgie, l’indication chirurgicale ne doit plus attendre de baisse d’acuité visuelle importante.
L’amélioration des techniques chirurgicales et la diminution du risque de décollement de rétine invite à opérer les MER dès 6/10e afin d’offrir la meilleure réhabilitation visuelle.

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Les symptômes d’une inflammation oculaire conduisent rapidement le patient chez l’ophtalmologiste. Le diagnostic positif est plus ou moins aisé, a contrario le diagnostic étiologique peut s’avérer parfois compliqué.
L’objectif de cet article est d’aborder les différents tableaux cliniques d’inflammation oculaire et les signes devant faire évoquer au non une pathologie infectieuse. De plus, devant toute inflammation, il convient d’établir précocement un diagnostic étiologique adapté afin de mettre en place un traitement adéquat, sous peine d’aggravation sévère.

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De nombreuses maladies infectieuses peuvent être à l’origine d’une atteinte de la rétine. Les rétinites peuvent être isolées ou associées à des atteintes d’autres segments oculaires. Elles peuvent aussi bien atteindre les sujets immunodéprimés que les sujets immunocompétents.
Les étiologies les plus fréquentes sont la toxoplasmose, affection liée à un parasite, les herpès virus, la syphilis et la tuberculose.
Les caractéristiques cliniques et paracliniques des rétinites nous permettent la plupart du temps d’identifier les germes et d’instaurer un traitement adapté.

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De même que l’imagerie dans le domaine de l’ophtalmologie est passée de l’imagerie argentique à l’imagerie numérique moderne, la chirurgie ophtalmologique moderne va très certainement bénéficier des mêmes évolutions technologiques, l’amenant à passer progressivement d’une vision conventionnelle à une visualisation numérique du champ opératoire. Cette évolution fera certes face à des obstacles ou freins techniques, mais ces derniers seront sans nul doute levés par les avancées technologiques.
De plus les vastes possibilités offertes par cette technologie en termes d’interfaçage génèrent une dynamique positive pour son essor dans les années à venir. Cet article vise à décrire les évolutions technologiques, les avantages et les limites techniques de la visualisation 3D en chirurgie de la rétine.

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La prévention des endophtalmies postopératoires est indispensable compte tenu de la gravité de la pathologie.
Elle fait appel à des mesures de base axées sur l’hygiène des mains et la désinfection cutanée et conjonctivale à la povidone iodée.
Ces mesures sont complétées par des procédures modernes comme l’injection intracamérulaire d’antibiotiques en fin de chirurgie de cataracte ou l’utilisation de la seringue pré-remplie dans les IVT.

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