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DMLA : l’intérêt d’un test quantitatif de sensibilité aux contrastes

L’étude publiée en novembre par cette équipe de Boston visait à corréler les résultats d’un test fonctionnel, la sensibilité aux contrastes (qCSF), avec l’imagerie, i.e. les marqueurs OCT d’évolutivité de la DMLA intermédiaire.

Pour mémoire, le terme américain de “DMLA intermédiaire” correspond à une maculopathie liée à l’âge à un stade critique, comportant des drusen séreux (> 125 µm) et/ou des migrations pigmentaires maculaires [1]. Les résultats de l’étude suggèrent que la qCSF peut être corrélée avec le risque de progression de la DMLA intermédiaire vers l’atrophie géographique ou la DMLA néovasculaire.

Revue de presse
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Depuis la publication en 1970 de l’article de Krill et Archer sur les pseudo-histoplasmoses oculaires [1], de très nombreux travaux ont décrit des tableaux cliniques assez similaires mais sous des noms différents. C’est en 2013 que Essex, Wong, Jampol, Dowler et Bird écrivent à 5 un éditorial de 4 pages dans Retina pour regrouper, sous une nomenclature unique, la quinzaine d’affections [2]. Les auteurs distinguent, d’une part, les foyers multiples vus le plus souvent chez des sujets fé-minins avec une discrète myopie (et un épisode d’inflammation du vitré ou du segment antérieur qui a pu passer inaperçu) et, d’autre part, les foyers survenant dans un contexte de maladie générale (infection [tuberculose, brucellose, coccidiomy-cose, candidose et autres infections fungiques, histoplasmose…] ou maladie systémique [sarcoïdose…]).

Revues Générales
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L’œil sec de l’enfant est une pathologie rare. Celle-ci est souvent asymptomatique chez l’enfant, ce qui conduit malheureu-sement à un diagnostic retardé. Elle peut se présenter de façon soit isolée, soit plus rarement dans une maladie générale qu’il faudra alors identifier.

Revues Générales
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Le glaucome de l’enfant est une pathologie rare, mais il est impératif de le dépister le plus précocement possible. Cepen-dant, les signes d’appel sont parfois difficiles à reconnaître. Les symptômes peuvent être communs en apparence comme un larmoiement persistant en l’absence d’occlusion du canal lacrymonasal, une photophobie, une myopie uni ou bilatérale progressive. Certains signes sont plus caractéristiques, comme une mégalocornée ou une buphtalmie. Devant toute suspi-cion de glaucome, un examen complet doit être réalisé avec prise de tonus oculaire et échographie avec longueur axiale.

Revues Générales
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La toxoplasmose est une infection très fréquente : 30 % de la population mondiale serait atteinte, avec une très grande variabilité. Cependant, en dépit d’une séroprévalence très élevée, l’incidence de la toxoplasmose oculaire (TO) reste limitée à environ 2 % des patients infectés.

Revues Générales
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Le terme de blépharite désigne une inflammation des paupières intéressant le bord libre, la peau, les cils (atteinte anté-rieure) et les glandes de Meibomius (GM) (atteinte postérieure). Il n’existe quasiment pas de données concernant la préva-lence de la blépharite bien qu’elle soit décrite comme une des pathologies les plus fréquentes en ophtalmologie. Elle est classiquement estimée à au moins 15 % de la population générale. La blépharite postérieure semble la plus fréquente avec une prédominance d’atteinte des GM.

Revues Générales
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Les corticoïdes sont des anti-inflammatoires puissants qui maîtrisent sans difficulté les crises inflammatoires douloureuses des kératoconjonctivites vernales. Cette efficacité explique que le recours à cette classe pharmacologique puisse apparaître confortable et apaisante pour ces enfants. Cependant, le risque iatrogénique important expose à la -formation de cataracte et à la survenue de glaucome. L’utilisation des corticoïdes chez ces enfants se doit d’être strictement limitée.

Revues Générales
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L’arthrite juvénile idiopathique (AJI) représente la première cause d’uvéite non infectieuse de l’enfant. Celle-ci représente un groupe hétérogène de maladies articulaires inflammatoires subdivisé en 7 sous-types suivant la classification internatio-nale ILAR. Parmi ces sous types, c’est surtout la forme oligo-articulaire qui représente à elle seule -environ la moitié des patients avec AJI, et qui se distingue par une atteinte -oculaire -insidieuse dont le pronostic peut parfois être plus sévère que celui de l’arthrite.